Le mouvement pour le Parkinson
À savoir que le parkinson est une maladie qui affecte la motricité, serait-ce possible de créer des changements positifs avec une approche proprioceptive ?
Des étudiants de l’école de kinésiologie de l’université de Montréal en sont venus à la conclusion que la médecine dopaminergique n’améliorait pas la coordination des mouvements ou même la stabilité posturale des patients atteints de la maladie du Parkinson.
Julie Messier, professeure titulaire de l’université de Montréal explique que « la proprioception constitue une source d’information sensorielle cruciale pour le contrôle de la posture et de l’équilibre ».
Messier considère que c’est urgent de développer des nouvelles modalités thérapeutiques afin d’améliorer l’efficience motrice des personnes atteinte de la maladie du Parkinson. Elle mise sur un programme d’exercices à saveur proprioceptive.
À savoir que la proprioception fait partie des qualités sensorielles de base du jeu sensori-moteur, ne serait-il pas intéressant de travailler et sur la proprioception, et sur le tactile et sur le vestibulaire de manière simultanée pour des résultats optimaux ?
https://medecine.umontreal.ca/2019/03/23/parkinson-et-proprioception-quand-la-kinesiologie-favorise-lautonomie-et-la-securite/?utm_source=Facmed&utm_campaign=2200c55236-infolettre+facmed+mars+2019&utm_medium=email&utm_term=0_cf2907b276-2200c55236-560458821&fbclid=IwAR1vhSazyxX_r51csqLcdWndiskLhurNgGS0lwLY5SgZwoPSFJ7OI226nPc
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